Parler de « guerre civile » pour décrire les émeutes françaises relève de l’abus de langage. Entre révolte et révolution, il existe un gouffre, et l’État conserve les moyens de rétablir l’ordre.
il y a 7 heuresParler de « guerre civile » pour décrire les émeutes françaises relève de l’abus de langage. Entre révolte et révolution, il existe un gouffre, et l’État conserve les moyens de rétablir l’ordre.
il y a 7 heuresNé en ligne puis repris par l’ultra-gauche, « Bloquons tout » alterne coups d’éclat matinaux à fort impact d’image et élargissement l’après-midi, jusqu’aux lycéens. Au-delà du bruit, une mécanique: recrutement viral, escalier de la radicalité, stratégie pour « couper les flux ». La réponse doit rester ciblée, probatoire et pénale, sans abîmer l’État de droit.
il y a 6 heuresEn décalage frappant avec Paris, le « bloquons tout » marseillais fait un flop pour sa première journée. C’était bien la peine de recruter Delogu comme attaquant.
il y a 7 heuresÀ l’approche de la mobilisation du 10 septembre, un nom revient avec insistance : celui de Julien Marissiaux. Entrepreneur du Nord et militant antisystème, il est à l’origine du canal Telegram « Les Essentiels France » et du slogan « Bloquons tout », désormais repris par une partie de la gauche française. Portrait d’un homme qui revendique une indépendance politique, mais dont le mouvement semble déjà lui échapper.
8 septembre 202504
Prévu pour le 10 septembre, le mouvement qui appelle sur les réseaux sociaux à "Tout bloquer" possède des origines et des contours nébuleux. Est il un phénomène spontané de la société française ou une création ex nihilo d'un rival malveillant de la France ? Décryptage.
8 septembre 2025Né sur les messageries cryptées et amplifié par les réseaux sociaux, le mouvement « Bloquons Tout » appelle à paralyser le pays le 10 septembre, en réaction au plan d’économies présenté par François Bayrou. Derrière un slogan simple, une nébuleuse de collectifs s’organise, portée par des milliers de jeunes militants et largement ancrée à gauche. Entre revendications multiples, radicalité assumée et exclusions internes, le mouvement cherche encore sa forme.
1 septembre 202506
L'appel à la mobilisation le 10 septembre, né sur les réseaux sociaux, a reçu le soutien d’organisations syndicales.
21 août 202507